Doute supposé d’enlèvement à Essassa de la jeune adolescente de 17 ans, qui ment ?

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Cette vidéo est devenue virale sur les réseaux sociaux. Et qui aujourd’hui, sème la psychose dans le grand Libreville et ses environs où une jeune fille de 17 ans, Laïka Makanga a raconté avoir été enlevée par des inconnus abord d’un taxi bus en provenance d’Essassa pour Nkoltang. En effet, une vidéo mettant en scène une jeune fille, visiblement traumatisée a vécu une histoire d’enlevement dans la zone de Nkoltang, en début de weekend écoulé.

En effet, la DGR va se saisir de ce dossier pour faire la lumière sur ce énième cas d’enlèvement dans notre pays. Car trop c’est trop. Après avoir machiner la jeune Fille, il se trouverait que les faits contraires va se produire. Cette dernière va nier tout en bloc. C’est ce que va nous rapporter nos confrères de la chaine nationale, Gabon 1ère.

Rien de ce que j’ai dit à propos de l’enlèvement de l’enfant ne s’est réellement passé…J’ai dormi chez un ami de maman, chez un voisin. J’ai eu peur d’aller directement à la maison, je suis allée chez ma tante ”, a avoué Laïka Makanga.

À Libreville au Gabon, il ne se passe plus un seul jour où l’on ne parle de disparitions, d’enlèvements, de corps sans vie où encore de crimes rituels.

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De tous ces Scénarios à la Hollywoodienne que ça soit du côté des rails où Laïka a été retrouvée où dans les bureaux de la DGR, un des réalisateurs a pêché. La première vidéo montre que la jeune fille a des cheveux court et celle Interrogée dans les geôles de la DGR, a des cheveux long où encore a des tresses. À quel moment Laïka Makanga a-t-elle eu le temps de se faire tresser sachant qu’elle a des cheveux très court ? Et pour quoi nous a-t-on caché son visage alors que son visage était déjà connu de par la vidéo qui a fait le tour du monde ?

Qui des deux, nous raconte le mensonge ? Et qui dit alors la vérité dans cette affaire d’enlèvement ?

Il est bien de rappeler que, selon les dispositions du Code pénal gabonais, toute personne qui mettra en scène des histoires inventées de toute pièce, pouvant semer des troubles à l’ordre public, peut être passive d’un emprisonnement et d’une amende de plusieurs millions de francs CFA.

Affaire à suivre !

Aimé Jordan PANGO

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