Gabon/Vie des partis politiques : Eloi Nzondo demande pardon aux siens pour avoir disparu 4 ans

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Après 4 années d’absence pour multiples raisons, Eloi Nzondo, secrétaire général adjoint trois du Parti Démocratique Gabonais (PDG) en charge des relations extérieures, a marqué son retour dans le 3ème arrondissement de la commune de Libreville, le samedi 11 février courant en présence de certains membres du parti, en tête desquels le Premier Ministre, Alain-Claude Bilie-By-Nze.

Le fils de la baie des cochons a reconnu auprès des siens qu’il s’était absenté trop longtemps et a demandé pardon.

Resté longtemps absent, il a fait l’annonce de son retour sur la scène politique, notamment dans le premier siège du 3ème Arrondissement de la Commune de Libreville, sa circonscription électorale.

Une annonce faite à l’occasion de la cérémonie inaugurale de sa permanence politique, sous fond de rentrée politique, qui a vu la présence des acteurs politiques de la province de l’Estuaire, en tête desquels, la Secrétaire Nationale Emmanuelle Augé, le doyen politique et ancien Premier Ministre Paul Biyoghe Mba l, la ministre de l’Education Nationale, Camelia Ntoutoume Leclercq et bien d’autres.

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Son retour sur la scène politique sonne comme un son de cloche qui vient remobiliser ses troupes et redonne de l’espoir à sa population.

C’est en toute humilité que ce dernier dans son adresse à la population, à remercier les siens pour la confiance mainte fois renouvelée à chaque consultation électorale, tout en leur promettant d’être toujours à leur service pour leur bien-être et de celui du pays.

Pour Eloi Nzondo, les gabonais devraient travailler dans la concorde et la fraternité tout en resserrant les liens de l’unité afin que demain notre pays le Gabon soit fier de ses enfants unis.

Le message a été clair  » continuer de manifester la fidélité et la loyauté au parti Démocratique Gabonais, comme ils l’ont toujours fait depuis plusieurs décennies « .

Le Secrétaire général adjoint 3 a rappelé à l’ensemble des Camarades les valeurs et l’éthique du militant, du leader mais aussi du décideur. La méchanceté, l’hypocrisie et le mensonge n’ont plus et ne devront plus avoir leur effet au sein des rangs du PDG en général, et du 3ème arrondissement en particulier.

 

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