Libreville- Lassés de vouloir en découdre avec le président gabonais à l’occasion de la prochaine élection présidentielle de 2023, les adversaires d’Ali Bongo Ondimba ne savent plus qu’elle stratégie adopter pour fragiliser davantage le pouvoir gabonais. Où encore tous ceux des responsables qui, à différentes échelles, œuvrent en soutien à l’action d’Ali Bongo Ondimba. Après les attaques en règle des proches et membres de la famille présidentielle ou même de certains responsables des institutions du pays, c’est désormais le tour de la jeune garde sur laquelle Ali Bongo Ondimba a placé sa confiance pour la conduite de certains pans du plan d’action de sa politique de subir les frasques malintentionnées de certains zélateurs.
Au niveau du palais présidentiel de Libreville ; Noureddin Bongo Valentin, Mohammed Saliou Osséni, Jessye Ella Ekogha, Yann-Ghislain Ngoulou. Dans l’administration publique ; Herman Kamonomono (SNI), Yann Koubdgé (Comptabilité publique), Fabrice Andjoua Bongo Ondimba (Budget), Thierry Mboussou (Caistab), Godwin Alini (Oprag). Et au PDG (Parti démocratique gabonais) ; le Secrétaire général Steeve Nzégho Diéko, Cyriaque Mvourandjami, Eloi Nzondo, Nina Abouna… seraient les plus cité de cette cabale gratuite qui ne dit pas son nom. Non seulement de la part d’une certaine opposition mais également émanant d’une cohorte d’ex-prédateurs nostalgiques d’une vague bleue émergente . Qui en l’absence du chef de l’État pour une raison de convalescence médicale, avait érigé le pays en coupe-sombre. Tous les khalifes du sous-bois étant subitement transformé en khalifes d’opérette. Et dont plusieurs hauts responsables politico-administratifs gabonais ont été victimes de la félonie pour leur fidélité et loyauté à l’égard du Président de la République. Les personnes qui ont accepté de faire allégeance à la « tyrannie répressive » se sont vus récompenser par des promotions de complaisance. Ou bénéficier davantages en numéraire sans rapport avec leurs statuts réels.
Alors que les récalcitrants avaient simplement été « viré » par l’immense forfaiture qui avait commencé à sidéré le pays par le fameux concept lugubre : »Qui boude… ».

La nostalgie de cette épopée pharaonique a donc développé chez certains une sorte de haine envers Ali Bongo Ondimba et sa jeune garde mieux inspirée et moins accroc à des ambitions démesurées. Préférant se concentrer sur l’essentiel des missions confiées à elle par le chef de l’État. Depuis quelques temps, la jeune garde présidentielle est cataloguée de personnes à multiples « tentacules ». Cela se traduit d’ailleurs dans de nombreuses éditions de presse à la solde où sur des réseaux sociaux par des récits douteux qui inspirent à la méfiance et à la vigilance. Où les noms de ces citoyens sont constamment placardés comme des trophées d’une vengeance aveugle.
Il faut dire que leurs nominations, issus d’un choix personnel du Président de la République, interviennent dans la plupart des cas, sur la nécessité de la matérialisation, par le président de la République, du Plan d’accélération de la transformation (PAT) pour ce qui est de l’administration publique. Et l’adoption, au niveau du PDG, de la vision du concept des « 2R (Revitalisation-Regénération » cher au Distingué camarade président..
Toute chose qui fait dire que la jeune garde du Président de la République serait devenue la cible à abattre avant le scrutin présidentiel. Jusqu’à quand ? S’interroge-t-on.
Puisque des différentes extrapolations dans les débats ferait état d’une opération de lobbying quasi permanente visant à les débusquer de leurs piédestal.
Thierry Mocktar