C’est dans le cadre de ses journées de solidarité d’entre aide initiées depuis 1 an que le leader de l’église Station de toutes les Nations le prophète Mycomb Mikombo a été reçu par Anicet Bongo Ondimba, pour expliquer le bien fondé de ces actions en faveur des personnes démunies, les veuves, les orphelins, ceux du 3e âge, les aveugles, les handicapés et les enfants non scolarisés. Cette première rencontre a été aussi l’occasion pour le leader religieux de présenter à son hôte la problématique des catastrophes naturelles enregistrées ces derniers temps dans la capitale du Gabon.
En effet, les échanges entre les deux protagonistes ont porté bien évidemment d’une part sur les journées de solidarité d’entre aide qui visent à apporter une aide multiforme aux familles démunies et la sensibilisation à l’entrepreneuriat des jeunes, proposer par son hôte Anicet Bongo Ondimba, qui permettrait à ceux-là de s’occuper et de subvenir à leurs besoins en mettant en place des micro-projets d’autre part.
Dans le même élan de solidarité, Anicet Bongo Ondimba, se propose d’apporter sa pierre à l’édifice et promet de collaborer avec le Prophète Mycomb en initiant des campagnes de sensibilisation des jeunes sur l’entrepreneuriat dans les quartiers du grands Libreville et ses environs, pour en découdre avec loisiveté de ces jeunes à l’origine du grand banditisme devenu viral dans notre pays et cela dans les tous prochains jours.

Pour Anicet Bongo Ondimba : » le challenge est grand, nous savons que lorsque l’on gère les choses avec la crainte de Dieu, on réussit forcément. Nous sommes dans une séquence de la vie de notre pays qui commande de ne plus être des observateurs mais d’agir. Aussi, va t-il ajouté, l’initiative du Prophète Mycomb est louable et mérite d’être soutenue ».
Selon l’homme de Dieu : » Il faut sortir de la prophétie abstraite, pour la concrétisation. Un homme de Dieu ne peut être un homme à palabre. les mêmes personnes qui sont pauvres, sont les mêmes personnes qui viennent à l’église. L’initiative est purement sociale afin d’avoir des discutions avec les couches économiquement faibles. Évitons la confusion entre l’état et les hommes de Dieu. l’église est également le relai pour ramener les personnes égarées. »
» Pourtant la dérive des valeurs de la société gabonaise exige des chrétiennes et chrétiens, de s’engager sérieusement et de mettre au service de notre pays, nos valeurs profondes « , a conclu Mycomb Mikombo
La rédaction