Il pensait s’offrir le lucre en voulant s’affirmer comme une incarnation de « l’aile » dure de l’opposition, en perspective de la prochaine élection présidentielle de 2023. Le président du RPM (Rassemblement pour la Patrie et la modernité) a dû se résoudre à comprendre que son message n’est pas fait pour lui arranger les choses. Mais, dans une auto-suffisance adoubé d’un dandy roitelet « gâté », Alexandre Barro Chambrier, aurait fini par se faire griller les ailerons au sein de son propre camp politique et de sa communauté ethno-linguistique au point de passer pour simple faire-valoir de potentiel candidat à la candidature qui ferait connaître ses intentions le moment venu.
La fibre ethno-linguistique de la communauté « Mpongwè-Myèné » au sein de laquelle il entendait s’appuyer sur une vision ténébreuse, serait fermement opposée à une filiation hybride dont Alexandre Barro Chambrier serait supposé tisser avec une légion étrangère, en vue d’un soutien financier étranger afin d’entretenir cet acharnement « politique » à l’encontre du pouvoir gabonais.
En effet, il n’est d’un secret de polichinelle que l’opposition gabonaise, dans sa farandole de projet lugubre, adoubée de haine, entendrait (visiblement) s’offrir des soutiens financiers extérieurs pour battre campagne contre la candidature du chef de l’État sortant, Ali Bongo Ondimba, dont les indicateurs donnent pourtant vainqueur pour un troisième mandat consécutif à la tête du Gabon.
Il existe, en effet, chez certains opposants acephales comme Alexandre Barro Chambrier une sorte de cécité politique ou une myriade misanthrope qui leur ferait croire que leur statut de « roitelets » devrait leur favoriser autant de privilèges pour mettre le pays sous le couperet de la menace en cas d’une réélection d’Ali Bongo Ondimba en 2023. Les opposants à la gomme qui entretiennent ce genre de propos seraient collectivement hors-jeu. Surtout après avoir été des privilégiés d’un système qui, durant 42 ans de règne, a fomavoriser leur élévation sociétale et accentué leur enrichissement d’une pègre de personnes qui s’érige en donneurs de leçons de gouvernance et de démocratie. Tout en retardant considérablement les efforts de développement du pays. Au point de vouloir dicter leur loi en enivrant le peuple de desseins d’insurrection. Une manière de vouloir transformer le peuple en une bande d’affidés.
Surtout quand l’on ne veut pas reconnaître pour se faire, que malgré les chantages et les menaces de chaos dont ils font planer, Ali Bongo Ondimba reste un adversaire redoutable qui est bien donner pour favori à la prochaine élection présidentielle de 2023.
Thierry Mocktar