ALI BONGO ONDIMBA n’y attend pas faire piètre figure ; l’avenir et la prospérité de son pays, le GABON, en dépendent

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A quatre mois des élections générales (dont l’élection présidentielle) que notre pays s’apprête à organiser, plusieurs cadres qui s’enrichissent (où se sont enrichis sur le dos du contribuable), ceux exerçant au sein des institutions administratives, financières, commencent à perdre le sommeil.

Cause principale, ALI BONGO ONDIMBA a retrouvé toute sa posture ; celle de première institution de la République, chargée de conduire la politique de la Nation.
A cet effet, il s’apprêterait à remettre de l’ordre dans la maison. Et quiconque aura côtoyé ou milité avec ce personnage charismatique devrait s’aviser de la rigueur de cet homme ; toute la rigueur avec laquelle il agit afin de respecter ou de faire respecter l’État de droit dans son pays, quoiqu’on en dise.

Sont ainsi fortement concernés par ce triple TsounAli auquel le citoyen lambda s’attend, les membres du gouvernement, les hauts cadres des ministères, ceux des institutions financières, sanitaires, parlementaires ; ses collaborateurs de la Présidence de la République ainsi que ceux du Parti Démocratique Gabonais (PDG), parti au pouvoir.

Selon les sources bien informées, tous les cadres ayant géré les moyens du contribuable et qui se seraient rendu coupables des détournements quelconque devraient se soumettre à l’exercice rigoureux de la bonne gouvernance, des études d’audit tous azimuts auraient été initiées par les institutions habilitées.

QUESTIONS

1/-Pourquoi une telle initiative que d’aucuns, les citoyens, qualifient de « salutaire » mais dont les objectifs escomptés ne seraient jamais atteints ?

2/-Plusieurs « acteurs » dont les membres du gouvernement et les hauts cadres de la  préfèrent, préfèrent s’impliquer uniquement au profit de leur village ou famille, histoire de dissimuler leur incompétence ou la mauvaise gestion des moyens que l’État met à leur disposition surtout à l’approche d’une élection présidentielle aussi capitale ; de se faire « justice » afin d’attirer l’attention et les faveurs d’Ali BONGO ONDIMBA.

De plus, comment identifier ces fossoyeurs ; alors que d’autres manquent de repère géopolitique dans la localité qui les aurait vu naître, grandir et militer au sein du PDG dont il est le Président ?

3/-A quoi peuvent s’attendre les citoyens qui, face à l’immobilisme, l’impunité ainsi qu’à l’incapacité pour la performance dont font preuve certains cadres de la République ; ces compatriotes qui ont déjà perdu espoir de voir ces malfaiteurs sanctionnés avec la dernière énergie au profit d’un paradigme nouveau ?

Autant de questions auxquelles la Rédaction DES SOURCES BIEN INFORMÉES tentera de donner réponses.

D’abord le Gabon est un État de Droit et pour réinstaurer l’ordre, force reste à la loi.
Le Président de la République Ali BONGO ONDIMBA a été élu et réélu par le peuple Gabonais . Il lui doit lui rendre des comptes à la fin de son mandat.

En effet, le Gabon vient de traverser une période longue et difficile durant laquelle le pays a ressemblé à un « bateau ivre » avec plusieurs « capitaines » à sa tête.

Par conséquent et selon les sources bien informées, il faut identifier les bons et les mauvais citoyens, y compris les étrangers venus faire fortune licite illicite ; avec pour objectif, de laisser le pays en lambeaux, en faillite, ingouvernable.

Nul n’est au-dessus de la loi ; le bien-être et la paix sociale sont à ce prix.

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Le Gabon, un pays de verre. Toutes ses composantes sont visibles de l’intérieur comme de l’extérieur.

Dixit feu Omar BONGO ONDIMBA.

Par ailleurs, gouverner c’est prévoir et, qui veut aller loin, ménage sa monture, disent deux proverbes bien connus de ses compatriotes.

ALI BONGO ONDIMBA connaît tout le monde, y compris « ceux qui se croient invisibles ».

En effet, selon les mêmes sources, un Ministre est d’abord au service de la Nation, du peuple ; de tout le peuple et non de son village, ou de son clan.

L’heure de faire le bilan a sonné.
Pour Ali BONGO ONDIMBA, comme pour tout autre dirigeant, nul n’est dupe à ce niveau de la gouvernance ni au-dessus de la loi.

Il faut faire l’état des lieux avant les futurs mouvements des chaises.
La fonction ministérielle, administrative, aussi juteuse soit-elle, ne peut en constituer un héritage familial.

Il faut à fortiori se débarrasser des bras cassés de la République. Place à l’excellence, à la performance et à la probabilité morale, intellectuelle, pour mériter la place qui sied.

Qui n’a pas travaillé, n’a pas droit au salaire et quiconque se serait rendu coupable de détournements des biens de l’État, devrait en répondre, conformément à la loi en vigueur dans le pays.

Selon les sources bien informées, plus rien ne serait comme avant.
Un nouveau mandat point à l’horizon du mois d’août.
Il présage des enjeux politiques, économiques, sociaux, culturels et de croissance inédits, il faut y préparer la République avec elle, les dignes compatriotes.

De plus, un enjeu mondial, unipolaire : la lutte contre le réchauffement climatique nécessitant la bonne gouvernance de l’environnement, des hommes préparés ainsi que des moyens y relatifs.

ALI BONGO ONDIMBA n’y attend pas faire piètre figure ; l’avenir et la prospérité de son pays, le GABON, en dépendent.

La Rédaction

DES SOURCES BIEN INFORMÉES

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