Depuis un certain temps, le ministre de l’Économie chargé de la relance, Jean Marie Ogandaga fait l’objet d’une campagne de dénigrement sans précédent sur les réseaux et par certains médias.
Entre les accusations non fondées et des histoires inventées de toutes pièces, les délateurs du ministre de l’Économie ne ratent plus une occasion pour salir celui qui avait initié le nouveau système de rémunération quand il était ministre de la Fonction Publique, un projet pour certains irréalisable. Mais il a fait.
Que peut-on donc réclamer au ministre Ogandaga qui depuis le déclenchement de la crise sanitaire liée au Coronavirus ne s’est jamais lassé à mettre le pays à l’abri des contre-coups de cette pandémie. Les satisfecits des organisations monétaires internationales à l’endroit du Gabon en est la preuve.
Rappelons qu’en termes d’incidence, on note en particulier la baisse de près de 597, 3 milliards de francs CFA des recettes budgétaires de l’Etat. Ainsi, les allocations budgétaires de la loi de finances rectificative 2020 ont été guidées, en priorité par la couverture des échanges relatives au Covid-19; au fonctionnement optimal des services dits essentiels à la vie de la nation; au respect des engagements financiers de l’Etat, aux dépenses sociales ( santé, Éducation, prestations sociales et allocations d’études, etc….); à l’optimisation des dépenses d’investissement mais surtout à la régularisation des situations administratives, notamment les rappels de solde des personnels admis à faire valoir leurs droits à la retraite.
En outre, le projet de loi de finances fait effectivement ressortir une contraction des dépenses induites par la raréfaction des ressources. Cette baisse, qui a impacté tous les secteurs y compris ceux dits essentiels, concerne aussi bien les dépenses de fonctionnement que les dépenses d’investissement. Elle s’inscrit dans le cadre du dialogue permanent avec la communauté financière internationale qui nous accompagne vers une plus grande efficacité de la dépense publique.
Que peut-on alors reprocher au ministre de l’Économie et la Relance, Jean-Marie Ogadanga après un travail aussi remarquable apprécié par les bailleurs de fonds?
Le Syndicat des Agents des régies financières ne se tromperait-il pas de cible?
La forte contraction des ressources a entraîné un besoin de financement. Pour y faire face, deux axes ont été privilégiés. Le premier volet concerne une plus grande mobilisation de recettes budgétaires supplémentaires à travers l’optimisation du recouvrement par « e-tax » et « Sydonia word » un projet initié par Jean-Marie Ogandaga d’une part, et l’introduction de nouvelles dispositions fiscales d’autre part.
En dépit, de ces importants efforts, le Gabon par le biais du ministre de l’Économie et de la Relance va bénéficier du soutien financier de la communauté internationale pour combler le gap de financement résiduel. Un bravo à ce vaillant guerrier de la finance. Même si beaucoup ne veulent pas le reconnaître.
Aujourd’hui, les grands projets structurants sont en voie de lancement après une longue hibernation. C’est le cas de la transgabonaise, les différents barrages hydroélectriques, la station de pompage de Ntoum 6, la voie du contournement Camp de Gaulle Okala et biens d’autres projets.
On peut voir que l’économie gabonaise se porte assez bien. Et la croissance de mise.