Ce sont là, 20 associations dont 15 qui vont exposer chacune sur une pathologie, cette conférence pilotée par l’ONG AMFES dont la présidente est Mme AVORBANG Marie, permettra une meilleure prise de conscience dans les traitements des maladies pandémiques en Afrique.
Ces échanges qui se tiennent dans le 6eme arrondissement de la commune de Libreville devraient durer près de 19 jours. Et va mettre en relief les avantages de la médecine traditionnelle africaine.
Selon sa promotrice, le principe d’organisation va consister à permettre à chaque pays de présenter une pandémie virulente au niveau local.
100% de molécules contenues dans un médicament près de 80% de ces molécules proviennent notamment des forêts africaines.
» Nous ne pouvons pas parler aujourd’hui de l’Afrique en terme de santé, et ne parler que de la médecine moderne », a expliqué Mme AVORBANG Marie, présidente de l’ONG AMFES
Pour Marc ONA ESSANGUI, Président de l’ONG Internationale Brain-Forest : « il est grand temps pour les africains de considérer leur pharmacopée. Car, elle a déjà ses preuves pendant la période de riposte contre la pandémie, où cette pharmacopée a permis de déjouer le pronostic sur un hécatombe en Afrique en dépit du manque de moyens et de structures adéquates« .
Le Gabon compte aborder les réflexions sur le diabète et l’insuffisance rénale, le Cameroun le sida. Et que la Côte d’Ivoire, les questions se rapportant à l’AVC.
La rédaction