Les causeries que nous avons entamé depuis notre retour au Gabon sur le terrain avec les populations révèlent le quotidien des gabonaises et des gabonais. Elles nous apprennent que les besoins, les préoccupations et finalement les problèmes de nos compatriotes sont identiques.
L’attente de ces populations envers les candidats est le principal défi à relever. Il s’agit de trouver les réponses justes, immédiates, et satisfaisantes pour répondre au peuple.
C’est certainement le candidat qui peut répondre à une telle pression du peuple qui trouvera les faveurs des électeurs.
C’est le principal enjeu de ces élections.
Pourtant il y a un autre facteur déterminant qui guidera le choix des électrices et des electeurs: il s’agit de leur appartenance soit à un parti politique, à une association, à une ethnie, à une province ou encore à une famille.
Enfin, il y a cette supposée mythe du chapeau de protection franco-africain matérialisée par la présence de l’armée française sur le territoire gabonais.
Au classement de toutes ces préoccupations, c’est le quotidien qui occupe la première place. Et c’est ici que le bas blesse, mais c’est aussi à ce niveau qu’on peut avance avec prudence la réponse à ce TEXTO.
Notre petit doigt indique que la destruction de l’Etat et des services publics est à la base de tous les problèmes des gabonais, et leur réactivation la solution.
PETIT-LAMBERT OVONO ÉVALUATEUR CERTIFIÉ DES POLITIQUES PUBLIQUES PRÉSIDENT DE SOGEVAL
