Les directeurs et Chargés d’Ecoles des circonscriptions scolaires Nyanga-nord, Catholique et Alliance Chrétienne de la Nyanga sont réunis à Tchibanga, depuis ce jeudi 27 octobre 2022. A la faveur d’un colloque annuel, dont le Centre de Formation et de Perfectionnement Professionnel Valentin MIHINDOU MI-NZAMBE offre son cadre.
Les travaux, qui prendront fin ce samedi, ont été ouverts par Madame le Gouverneur Nicole NOUHANDO, en présence du Directeur Adjoint de l’Académie Provinciale, des représentants de la municipalité de Tchibanga et du Conseil Départemental de Mougoutsi, ainsi que d’autres autorités civiles et militaires locales, dont celles de l’Education Nationale auront constitué la dominante.
Le Maire intérimaire Pierre PAMBOU a souhaité la bienvenue à l’assistance, à cette rencontre du donner et du recevoir. L’Inspecteur Pédagogique Nazaire LOEMBE, en sa qualité de Chef de la circonscription scolaire Nyanga-nord, a planté le record des travaux.
Ouvrant la rencontre, l’autorité provinciale Madame Nicole NOUHANDO a souhaité plein succès à ces 72 heures d’assises, qui participent de raviver les connaissances des enseignants, dans un secteur à fort intérêt pour les plus hautes autorités républicaines, en tête desquelles le Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA. Et de se réjouir de la relance de ce type d’initiatives, que le bassin pédagogique nynois n’avait plus connues depuis deux (2) ans, sous le coup de la Covid-19.
Premier exposant, le SG de province Célestin Hydris NZINZI, sur « La nécessité de connaître ses obligations pour mieux servir son pays« . Une communication parmi les six (6) retenues, sur des thématiques variées, en rapport avec les réalités éducatives.
On suivra certainement avec une attention toute particulière, ce vendredi, la communication de Mme Victorine DOUKAGA, Inspecteur Pédagogique, sur « Les violences en milieu scolaire » avec pour modérateurs le Procureur de la République Illich NDJEME BENGA et le Commandant de Brigade de Tchibanga. Tant ce thème vient à point nommé, à une période où le phénomène prend des proportions inquiétantes au Gabon.
OLIVIER BAAK