Politique/Diaspora : Quand les « narcos » du Trocadéro s’en prennent à Michel Essonghé

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« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement », cette notion du poète français Nicolas Boileau siérait bien à Michel Essonghé. Mais les propos tendancieux dont a été victime le Haut-commissaire général de la République, de la part de certains activistes n’est rien d’autre que de la désolation de la part des « égarés » du Trocadéro et leurs compères.

Figurant dans le top 50 officiel de l’hommage rendu aux bâtisseurs du Gabon indépendant, Michel Essonghé, fascine. Une aura qui traduit son humilité, l’intégrité et la fidélité qu’il met au service de la nation. Des qualités qui ne semblent pas être au goût d’une prétendue « diaspora » gabonaise de France. Qui, à l’approche des joutes électorales, en guise de programme politique, fait prévaloir sa haine à l’encontre des personnalités politiques proches du pouvoir ou membres de celui-ci. Ces tribulations se traduisent d’ailleurs par ces incessants actes de perversité à l’encontre des officiels présents ou de passage dans l’hexagone. La fréquence régulière et inimaginable de ces actes est devenue telle que l’aura de la démocratie gabonaise s’en trouve écornée par la faute de quelques « narcos » tapageurs sous le prétendu prétexte de la liberté comme si le Gabon ne pouvait se prévaloir du même argumentaire.

Michel Essonghé, formé à la bonne école des missionnaires, a hérité la patience, la prudence et la retenue. Il n’en a rien perdu de cette éducation « judéo chrétienne » qui caractérise sa personnalité et à façonné son être. Tant sur le plan politique aujourd’hui que sur le plan relations sociales, morales et humaines. Et, qui contribuent pour un monde dans lequel la fraternité doit régner et où il n’existera ni racisme ni trahison ni haine. Un monde débarrassé de la cupidité et du mensonge. Les pseudos « activistes » du Trocadéro sont visiblement tombé devant la mauvaise porte.

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Disposant d’une parfaite connaissance du monde politique gabonais et des arcanes de la vie politique nationale qu’il aborde, depuis près de cinq décennies, Michel Essonghé a été promu, le 4 mars dernier, en Conseil des Ministres par le Président de la République pour diriger le Haut-commissariat de la République. Une entité nouvelle qui a pour mission : « d’assurer une veille sur l’état de la situation politique au niveau national avec l’ensemble des acteurs politiques.Promouvoir l’animation politique auprès des populations afin de garantir la cohésion au sein de la communauté nationale. Suivre et évaluer la mise en œuvre de l’action politique du Président de la République en vue de l’amélioration des conditions de vie des gabonais« .

« Mon peuple périt faute de connaissance« , c’est du Michel Essonghé en une simple phrase des saintes écritures pour répondre aux attaques dont il est la cible depuis quelques temps.

Thierry Mocktar

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