« Tous les coups sont permis pour parvenir à ses fins », a-t-on, pour habitude de dire. Surtout quand pointent à l’horizon pour le pays de nouvelles échéances électorales, à l’instar de celles que compte organiser le Gabon dans un avenir proche. Dont l’objectif visé par l’intense cabale instrumentalisée autour de l’état de santé du numéro un gabonais aurait pour but d’affaiblir le camp du pouvoir toujours dirigé de mains d’orfèvre par Ali Bongo Ondimba. Dont les statistiques, pour l’heure, donnent grand vainqueur du prochain scrutin en tant que potentiel candidat de la majorité.
Alors qu’il y’a deux ans encore, rien ne prédestinait un tel retournement du contrat de confiance populaire du peuple en sa faveur au détriment de ceux-là qui, présents dans le camp du pouvoir ou en dehors, s’illustrent par des campagnes de diffamation sans-gêne ou encore par des critiques virulentes, à l’endroit de la politique impulsée par Ali Bongo Ondimba, instrumentalisées par une certaine opposition relayée par des activistes en mal de reconnaissance.
En effet, dans cette approche et depuis quelques jours, des audios insipides et inouïes qui donnent grabataire l’état de santé du dirigeant gabonais enflamment les réseaux sociaux. Cela est d’autant plus surprenant quand ces faits haineux sont occasionné par de pseudos « témoignages » de prétendus citoyens que l’on décrit comme des proches des strates du pouvoir gabonais.
Dans cette démarche et comme on le voit, la désinvolture affichée par les commanditaires et les auteurs de ces actes vise à déclencher une forme de psychose dans le pays en essayant de venir en aide à une opposition ainsi que ses affidés décimés par le regain de confiance du camp du pouvoir de la majorité. Comme le disait le leader gabonais : « Tout ce qui ne tue pas rend fort », ou encore de cette maxime rendue célèbre : « Celui qui ne recule pas avance ».
En effet malgré un acharnement à son endroit, le pouvoir gabonais continu de garder la haute tête dans un esprit de confiance et de sérénité. Afin de ne pas se détourner de la mission qu’il s’est assigné pour le peuple gabonais. Alors que les réseaux sociaux et leurs colporteurs se complaisent à distiller des insanités sur le Gabon et son chef, Ali Bongo Ondimba, dans la foulée, s’est vue décerné une élévation à la Dignité de Grand-Croix dans l’ordre de la pléiade par l’Assemblée parlementaire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) qui tenait ses travaux à Libreville.
Le chef de l’État gabonais a également eu l’occasion de s’entretenir avec l’Ambassadeur de France au Gabon, alors qu’une délégation de parlementaires français était de passage à Libreville. Toutes ces attaques n’étaient-elles pas planifiées pour s’attirer les bonnes grâces du monde politique français au moment où les relations entre la France et le Gabon sont au beau fixe ?
En début de semaine, le président gabonais a également présidé le traditionnel Conseil des ministres tenu en début de semaine. En effet au temps de gloire où la diplomatie gabonaise est entrain de prendre un nouvel envol, il n’ya que les esprits désinvoltes qui refusent de comprendre leur place n’est pas dans le pays, indiquent plusieurs soutiens du pouvoir.
Thierry Mocktar