Cocobeach édifié sur le conflit Homme-Eléphant
Cocobeach, le 14 juillet 2021 – (Actualites 241). Le ministre des Eaux et Forêts, de la Mer, de l’Environnement, chargé du Plan climat et du Plan d’Affectation des Terres, Prof. Lee White, a procédé ce jour au lancement des consultations provinciales sur le conflit Homme-Eléphant (CHE) à Cocobeach, chef-lieu du département de la Noya dans la province de l’Estuaire. Ceci en présence du ministre de la Culture et des Arts, M. Michel Menga M’Essone, du maire la commune de Cocobeach, Mme Rosine-Marie Loudy, et le Préfet, M. Mayombo Ifounda Albert.
Les participants, parmi lesquels les populations environnantes de la ville de Ntoum, des commerçants, des agriculteurs, des pêcheurs, des fermiers et des personnes victimes d’incidents liés à un contact avec les éléphants, à l’instar des pertes de cultures ou encore des infrastructures endommagées, ont tour à tour exposés les défis auxquels ils sont confrontés. L’un des moments marquants fut l’annonce de la construction d’une barrière électrique à Remboué.
« L’Agence Nationale des Parcs Nationaux (ANPN) initiera une étude de faisabilité afin d’identifier les zones qui enregistrent le plus grand nombre de conflits. Des barrières électriques seront ensuite installées dans la zone de Remboué afin de protéger les populations contre les dévastations des éléphants », a déclaré le Secrétaire Exécutif de l’ANPN, M. Christian Tchimambela.
« Je suis venu pour vous écouter. Je vais passer toute la journée avec vous afin de trouver des solutions au CHE qui est une préoccupation majeure pour le Gabon sur les plans politique, social, et économique », a déclaré le ministre Lee White.
Pour rappel, le Plan d’action national éléphants a été lancé par le chef de l’Etat en 2016 afin d’assurer la sécurité alimentaire des communautés et améliorer leurs conditions de vie, sans pour autant compromettre les efforts de conservation de la biodiversité, engagés par notre pays. Depuis lorsCocobeach, le 14 juillet 2021 – Le ministre des Eaux et Forêts, de la Mer, de l’Environnement, chargé du Plan climat et du Plan d’Affectation des Terres, Prof. Lee White, a procédé ce jour au lancement des consultations provinciales sur le conflit Homme-Eléphant (CHE) à Cocobeach, chef-lieu du département de la Noya dans la province de l’Estuaire. Ceci en présence du ministre de la Culture et des Arts, M. Michel Menga M’Essone, du maire la commune de Cocobeach, Mme Rosine-Marie Loudy, et le Préfet, M. Mayombo Ifounda Albert.
Les participants, parmi lesquels les populations environnantes de la ville de Ntoum, des commerçants, des agriculteurs, des pêcheurs, des fermiers et des personnes victimes d’incidents liés à un contact avec les éléphants, à l’instar des pertes de cultures ou encore des infrastructures endommagées, ont tour à tour exposés les défis auxquels ils sont confrontés. L’un des moments marquants fut l’annonce de la construction d’une barrière électrique à Remboué.
« L’Agence Nationale des Parcs Nationaux (ANPN) initiera une étude de faisabilité afin d’identifier les zones qui enregistrent le plus grand nombre de conflits. Des barrières électriques seront ensuite installées dans la zone de Remboué afin de protéger les populations contre les dévastations des éléphants », a déclaré le Secrétaire Exécutif de l’ANPN, M. Christian Tchimambela.
« Je suis venu pour vous écouter. Je vais passer toute la journée avec vous afin de trouver des solutions au CHE qui est une préoccupation majeure pour le Gabon sur les plans politique, social, et économique », a déclaré le ministre Lee White.
Pour rappel, le Plan d’action national éléphants a été lancé par le chef de l’Etat en 2016 afin d’assurer la sécurité alimentaire des communautés et améliorer leurs conditions de vie, sans pour autant compromettre les efforts de conservation de la biodiversité, engagés par notre pays. Depuis lors, l’Agence Nationale des Parcs Nationaux (ANPN) met en place des barrières électriques (14 ont été installées à ce jour) afin de rendre les plantations inaccessibles aux éléphants et de protéger les cultures des ravages occasionnés par ces derniers.