Haut-Ogooué/Bayi Brikolo-Aboumi : Amorce d’une nouvelle dynamique de développement

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Le doyen politique du département de la Bayi-Brikolo, Félix Onkéya va-t-il réellement reprendre, entre ses mains, la conduite du destin du peuple de Ngami comme le lui avait recommandé, dans la pure tradition « altogoveenne », les Sages et Notables de la contrée ?

En effet, depuis que l’ancien parlementaire du Parti démocratique gabonais (PDG), s’est exprimé à travers nos colonnes pour réaffirmer son soutien à la politique pour l’Émergence et de l’Égalité de chances prônée par le Président de la République, de sa fidélité et loyauté légendaires à l’égard du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba et des idéaux du Parti démocratique gabonais, les choses semblent se préciser positivement du côté du département de la Bayi-Brikolo et de ses environs.                            

C’est dire que Félix Onkéya a, véritablement, en mettant le pied à l’étrier, crever l’abcès des avatars qui freinent le développement, la cohésion et l’unité entre les fils et filles de la localité de Ngami.                             

D’après de nombreuses sources concordantes, les cadres de cette circonscription politique et administrative de la province du Haut-Ogooué auraient décidé de se démarquer de la politique politicienne pour s’investir significativement dans un objectif du développement et de l’épanouissement de la Bayi-Brikolo. Deux facteurs préconisés aujourd’hui par le « Député naturel », Félix Onkéya pour le bien-être de l’expansion sociale du peuple de Ngami, indique un acteur politique local.                 

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La question que l’on se pose est alors de savoir si le département de la Bayi-Brikolo va enfin connaître l’amorce d’un véritable développement économique et social ? L’ancien Membre du bureau politique du parti démocratique gabonais reste tout de même confiant et serein avec la mise en place, dans les tous prochains mois, de plusieurs unités de projets de développement intégré et de transformation locale des produits artisanaux par les populations, notamment : la farine de manioc, l’huile de palme rouge, l’habitat social, l’agriculture, l’élevage, la pisciculture…                  

« Dans son discours prononcé devant le Parlement, le 25 juin dernier, nous avons tous entendu le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, dénoncer ouvertement le « popularisme » qui prend de l’ampleur dans le pays. Nous devons bannir ce fléau nouveau afin que nous, nous consacrions à la Concorde sociale et à l’égalité de tous devant la loi que le Président de la République appel de tous ses vœux pour la construction d’une nouvelle société gabonaise dans une Démocratie sacrée et équitable pour notre « vivre-ensemble ». Autrement dit, nous devons apprendre à faire la politique autrement pour la satisfaction et des attentes de nos populations » , indique Félix Onkéya.                 

Comme l’a si bien dit le chef de l’État, la politique ne se fait pas sur les réseaux sociaux ni dans les rassemblements politiques sans consistance ni impact significatif pour le bien-être des populations gabonaises. La matérialisation du Plan d’accélération de la transformation (PAT) passe nécessairement par la mise en œuvre des mécanismes qui doivent contribuer à l’autonomisation des populations pour que les localités de l’intérieur du pays amorcent un réel développement harmonieux à long terme du Gabon.

Thierry Mocktar

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