De retour du parrainage d’un seminaire de formation de la femme rurale sur les mécanismes de création et de gestion des AGR (Activités Génératrices de Revenus) organisé durant 48 heures dans la ville d’Oyem, le député Estelle Ondo présente aujourd’hui l’image d’un élu du peuple à la vision d’un Homme d’État.
Selon le théologien et auteur américain James Freeman Clarke : » Un Homme d’État pense à la génération future, et le politicien pense la prochaine élection ». Si l’on s’en tient à cette assertion, nous pouvons dire sans risque de nous tromper que, le député du second siège de la commune d’Oyem, l’honorable Estelle Ondo, de par les actes posés en faveur des populations, est un élu avec la vision d’un Homme d’État.
Loin des méthodes traditionnelles, utilisées par plusieurs leaders politiques gabonais, notamment celle de « la politique des dons ». Une pratique légendaire qui n’a jamais favorisé l’émancipation des populations, bien au contraire, elle concourt à maintenir beaucoup de gabonais et de gabonaises dans une situation de totale précarité. Les conduisant parfois à la mendicité dans leur propre pays.
S’il est vrai, qu’au nord du Gabon, en passant par le sud, l’est et l’ouest, le principe de la mise en place des mécanismes visant à améliorer les conditions de vie des populations, est une vision qui n’est pas très développée par les leaders de la classe politique gabonaise actuelle. Il n’en demeure pas moins que, parmi eux, certains leaders se démarquent positivement. C’est le cas d’Estelle Ondo, ancien Ministre de la République, actuellement député à l’Assemblée Nationale et Patronne du mouvement politique « J’aime Oyem », qui ne cesse de poser des actions ayant un impact fiable et durable, en faveur des populations de sa circonscription politique, visant à créer des conditions qui profitent de façon concrète aux différents bénéficiaires, afin de leur permettre d’être autonomes et émancipés sur le plan économique et social.
De ce fait, du financement des études de certains jeunes d’Oyem, à la facilitation de l’obtention des permis de conduire pour d’autres. En passant par la formation des femmes chômeurs et des jeunes filles-mères sans-emploi, aux mécanismes de mise en œuvre et de gestion des Activités Génératrices de Revenus (AGR), jusqu’au financement des activités de ces différentes femmes, les exemples de son action sont légion dans la localité. Une marque politique du parlementaire qui est reconnue de tous dans sa ville natale d’Oyem. « Il vaut mieux apprendre quelqu’un à pêcher, au lieu de lui donner du poisson tout le temps », indique Estelle Ondo.
Ainsi, contrairement à d’autres leaders qui attendent uniquement le moment des joutes électorales, pour revenir vers le peuple, le député du deuxième arrondissement d’Oyem, reste dynamique sur le terrain et maintient un contact permanent des populations. Au moment où le paysage politique d’Oyem est en manque d’un véritable leader qui rassemble les fils et filles de « Nkoum’Ekéingne », les actes de la visionnaire Estelle Ondo militent en sa faveur. Aujourd’hui les langues s’accordent à reconnaître la native de « Mékagha », comme modèle de leader politique idéal, qu’il faut à la cité d’Oyem pour l’émancipation de ses populations.
Par Thierry Mocktar