PDG-Koula Moutou/2eme arrondissement : le bal des vampires

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« Aidons-nous mutuellement, la charge de nos maux en sera plus légère ». Cette pensée du dramaturge français Jean Pierre Claris de Florian, ne semble pas trouver réflexion dans les méninges de certains acteurs politiques en quête d’assise dans la commune de Koula Moutou. Au point de s’agiter dans l’ombre comme de la paille au vent. L’objectif étant de faire main basse sur l’héritage politique laisser dans le deuxième arrondissement de Koula Moutou par le défunt Jean Massima.

Depuis quelques temps, battant le rappel de leurs sulfureux hommes de main, des postes incendiaires visiblement commandités, sont relayés sur les réseaux sociaux et mis en contribution pour nuire à la dignité, denigrer et diffamer une notabilité locale, parmi lesquelles Blaise Louembet, Gaston Midoungani, Marcel Diana… dont les preuves de solidarité, d’entraide et les actes posés le sont gracieusement au bénéfice des populations sans en attendre une quelconque contrepartie.

 Cette stratégie du m’as-tu vu impulsée sur les réseaux sociaux par ces commanditaires, voudrait faire croire à l’opinion locale que l’heure aurait sonnée pour ces nouveaux parvenus politiques d’accéder à la lumière du deuxième arrondissement de Koula Moutou. De ces postes incendiaires qui font la boucle des réseaux sociaux, l’on retient qu’ils reflètent la qualité obscure des personnages lugubres qui en sont les concepteurs. Ne dit-on pas que : » C’est lors des amours que la loutre se découvre séduisante »?

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En effet, et selon certains témoignages locaux, ces acteurs politiques qui se disent authentiques et charismatiques (?) à travers les plumes épistolaires à la commande de leurs sicaires devraient, par-là, comprendre que les adversaires prétendus  et recusés « d’opposition » marchande est suffisamment assise pour aller à la quête d’un strapontin qui n’a de valeur que dans l’imagination de ceux qui y lorgnent et rêvent ardemment de s’asseoir sur la table des grands dans la commune. D’ailleurs une sagesse logovéene du coin indique : » C’est celui qui est debout qui se débat pour qu’on lui trouve une place au milieu de ceux qui sont assis ». Autrement dit, la politique relève d’une affaire d’initiés.

Dans un landerneau comme Koula Moutou, seules la sagesse et l’humilité peuvent accorder ce privilège. Ainsi, pour le mériter, il faut avoir été à la bonne école des Anciens ou des Aînés comme les Jean Stanislas Migolet, Martin Fidèle Magnaga, Guy Nzouba Ndama, Barnabé Indoumou… Ou des générations intermédiaires : Pacôme Moubelet, Gaston Midoungani, Simplice Mouango Bounguendza, Marcel Dikoba… Le « trône (?) » qui suscite tant la convoitise à la succession (?) dans le deuxième arrondissement de Koula Moutou, n’existe en réalité que dans la nébuleuse de ceux qui le conçoivent. Tout simplement parce que depuis le décès de Jean Massima,  l’actuel député Marcel Dikoba, constitue pour ces conspirateurs un obstacle pour, enfin, s’emparer de l’héritage politique légué à la postérité par l’illustre disparu. D’où l’attaque de personnes instrumentalisée à travers les réseaux sociaux pour nuire, calomnier et dénigrer d’autres camarades à visage couvert sous de patronymes.

Le Parti Démocratique Gabonais (PDG) – au pouvoir – qui est une formation politique organisée, de telles forfaitures ne sauraient être organisées en son sein, indique-t-on du côté de Louis. Ceux qui s’agitent dans l’ombre devraient encore attendre et user leurs arrières train, malgré les cabales et l’appel à la vindicte par des posts dénigrant sur les réseaux sociaux.   

Par Thierry Mocktar

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