Le récent séjour en terre gabonaise du Président français Émmanuel Macron – dans le cadre du One Forest Summit – pourrait avoir des retombées positives dans la dynamique de la diplomatie agissante impulsée par le chef de l’État gabonais, Ali Bongo Ondimba.
En effet, plusieurs délégations de haut rang de personnalités étrangères seraient, dans les tous prochains jours, annoncées en visite à Libreville. Dans un premier temps, il s’agit d’une délégation de la Banque centrale européenne (BCE) conduite par sa présidente Christine Lagarde ainsi que celle de l’ancien premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées au Sénat français – et par ailleurs – président de la Fondation prospective et innovation.
Des déplacements vers la capitale gabonaise qui sont la résultante de la stabilité politique, économique et sociale du Gabon sur le continent africain et du rôle d’acteur majeur que joue le pays, sous la dynamique impulsion du Président de la République Ali Bongo Ondimba, dans le concert des nations et sur la scène internationale.
Pour l’amplification de ce rôle, il est également prévu pour le mois d’avril prochain, l’arrivée dans la capitale gabonaise de la Vice-présidente des États-unis, Kamala Harris. Au menu des échanges il sera, sans nul doute, question de coopération économique, de sécurité et de développement durable entre les Autorités gabonaises et leurs différents partenaires et bailleurs de fonds internationaux.
Leader africain en matière de lutte contre les changements climatiques, le chef de l’État Ali Bongo Ondimba et le président américain, Joe Biden, partagent des points de vue commun sur ces préoccupations planétaires.
Thierry Mocktar