Suite au déferlement d’acharnement médiatique sans répit contre les proches et fidèles du Président de la République, c’est en réalité la personne d’Ali Bongo Ondimba, que des personnages clairement identifiés appartenant, aussi bien à la majorité qu’à l’opposition, tenteraient de fragiliser l’action dans la perspective de l’élection présidentielle pour 2023. Un « complot politique permanent » qui vise, en réalité, à faire usage de la politique du chantage et de la surenchère électorale qui, malheureusement, aurait avili bon nombre d’acteurs politiques du pays par leur appétit vorace à l’intérêt égocentrique.
Calomnie. Les gabonais sont parfaitement au faite de l’intense campagne de nuisance et la calomnie dont serait l’objet plusieurs proches et fidèles collaborateurs du chef de l’État, depuis plusieurs mois. Une campagne vengeresse qui serait entretenue par des individus en disgrâce réunis dans divers bords politique et activiste du pays, et qui tenteraient, par tous les moyens possibles, une instrumentalisation de l’opinion publique nationale en faisant passer les proches et fidèles collaborateurs d’Ali Bongo Ondimba pour des incompétents exclusivement mus par l’appétit du gain et désintéressés par le développement du pays. Au Gabon, il est d’une réalité évidente que l’on est désormais accroc des faits sans fondement juste pour intéresser les commanditaires des basses besognes.
La jeune garde. Il s’agirait, indiquent certaines sources concordantes, d’une théorie de « complot politique » mise en œuvre depuis que le numéro un gabonais a confié certains postes clés de responsabilités et fonctions stratégiques à de nombreux jeunes. Dont l’ambition et la volonté est de démontrer aux yeux du peuple qu’ils méritent eux aussi la confiance du Président de la République et pour mettre leurs compétences au service du pays. Surtout que de nombreux anciens ont fait montre de suffisance dans la gestion des affaires publiques. Et qui, aujourd’hui, se (re) trouveraient cité dans des dossiers judiciaires à rebondissement.
En clair, il s’agirait dans ce « complot politique permanent » d’une réelle conspiration à grande échelle pour un retour dans les bonnes grâces du pouvoir politique du pays.
Rose-Christiane Ossouka Raponda, Faustin Boukoubi, Steeve Nzegho Dieko, Cyriaque Mvourandjami, Noureddin Bongo Valentin, Ismael Osséni, Edgard-Anicet Mboumbou Miyakou, Fabrice Andjoua Bongo Ondimba, Yann Koubgé, Blaise Louembet, Michel Essonghé, Estelle Ondo, Guy-Patrick Obiang Ndong, Mohammed Saliou… abondamment visés par cet acharnement par médias à la solde interposé constituent, certainement, les derniers remparts de la digue qu’il faudrait fragiliser à dessein pour empêcher la candidature, en 2023, d’Ali Bongo Ondimba. Cela au regard des attaques de personnes dont ils sont victimes de la part de plumes mercenaires à la solde.
Stratégies vengeresses. Comme on dit très souvent, le diable est dans les détails. Et ce ne sont pas les stratégies qui manqueraient à ces funambules pour atteindre leurs funestes objectifs qui visent la conquête du pouvoir en lieu et place du khalife.
Après avoir obtenu, de manière rocambolesque la chute de l’ancien Premier ministre, Julien Nkoghé Bekalé, qui passe pour un inconditionnel d’Ali Bongo Ondimba, les « comploteurs politiques » seraient de (nouveau) de retour dans un schéma tout aussi nouveau. La présidentielle de 2023. Faire tomber Rose-Christiane Ossouka Raponda et le nouveau chef de l’exécutif du parti, Steeve Nzegho Dieko.
En effet, il souviendrait de cette cabale instrumentalisée par une presse engraissé dans les ors feutrés pour fragiliser l’action de la première femme cheffe du gouvernement sous l’ère Ali Bongo Ondimba. Juste parce qu’il fallait nuire à sa personne pour le plus grand bonheur des « conspirateurs politiques » du pays. Mal leur en a pris. Car Rose-Christiane OssoukaRaponda fût reconduite à sa fonction. Le poste de Secrétaire general du Parti démocratique gabonais (PDG) qu’ils ont espéré dans l’après Éric-Dodo Bounguendza à finalement échu au jeune Steeve Nzegho Dieko.
Ali Bongo Ondimba qui aurait déjà la clameur du pays qui appelle à la manifestation de sa candidature à l’élection présidentielle de 2023, gagnerait davantage à renforcer le cercle de ses principaux soutiens encore fidèles pour faire ombrage à cette « sorcellerie politique » qui s’acharne autour de sa candidature.
Thierry Mocktar