Après sa sortie du gouvernement en 2019, au sein duquel elle a occupée les principaux départements ministériels (Eaux et forêts – Transport – Décennie de la femme – Égalité de chances) en rapport avec la politique progressiste et volontariste impulsée à la tête de notre pays par le Président de la République gabonaise, Ali Bongo Ondimba, la députée Estelle Ondo, élue du de la commune d’Oyem, c’est avec beaucoup de responsabilité qu’elle avait regagner son siège et fait son entrée à l’Assemblée nationale. Où elle s’est rapidemment engagée à sa mission parlementaire de représentant du peuple au sein de l’hémicycle.
Au gouvernement, et suffisamment préparée, elle n’y etait pas entrée pour y faire carrière ou une éternité comme des malveillants l’ont, malheureusement, pensé et fait croire dans le temps. Raison pour laquelle la native Nkodjeigne de Mekaga à Nkoum’Ekeingn’ (Oyem) s’est « battue » pour se faire élire afin de siéger à l’Assemblée Nationale. Une expérience parlementaire que tout acteur politique responsable devrait prévaloir avant de se « distinguer » comme chef de file ou leader d’un groupe.
En dépit, des contraintes liées à la baisse des activités publiques non essentielles (regroupement de personnes, respect des gestes barrières, distanciation physique et sociale…) décidées par le gouvernement dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus de type Covid-19, dont la crise sanitaire actuelle est le principal facteur du déséquilibre de notre économie, l’Honorable Estelle Ondo entretien toujours des rapports étroits avec sa base politique de la province du Woleu-Ntem. Dont les sujets évoqués sont axés sur le quotidien des populations ainsi que de la quête des pistes de solutions à leurs préoccupations.
« Nous travaillons ensemble, comme je l’ai toujours fait. Rien n’a changé. C’est avec beaucoup d’abnégation, de force et de détermination, que nous allons relever les défis qui seront devant nous », indique Estelle Ondo en exhortant les populations du deuxième arrondissement et d’Oyem, en général, au rassemblement et à l’unité pour le soutien à la politique du Président de la République.
Au plan politique et comme tout le monde le sait, Estelle Ondo a effectué son entrée fulgurante au gouvernement à la suite de la main-tendue du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba, alors quelle était à ces instants, membre de l’opposition radicale, singulièrement de l’Union Nationale (UN), où elle occupait la fonction de Vice-président. Après les élections de 2016, et au regard de la situation de tension qui prevalait dans le pays, Estelle Ondo a estimé qu’il fallait s’arrêter avec le désordre aux revendications stériles et impropres à la Démocratie pour faire avancer les choses. Changer de paradigmes.
En effet, se définissant aujourd’hui comme un acteur politique du Centre, Estelle Ondo estime que faire de l’opposition radicale n’apporte pas grand chose à notre pays. « Le Gabon a besoin de voir ses fils et ses filles ensembles pour faire évoluer nos institutions, et consolider la démocratie et l’État de droit », rappel à toute fin utile, Estelle Ondo. Dont la présence à l’hémicycle de l’Assemblée Nationale est assujetti à celle de député Centriste. Une vision qui sied fortement à notre pays le Gabon, dans sa diversité, le « Vivre-ensemble » ainsi que notre jeune démocratie qui a besoin de toutes les « forces-vives » de la Nation.
L’immense avantage des populations du deuxième arrondissement et de la ville d’Oyem est d’avoir dans leur rang un leader politique au sens Républicain comme défenseur de leur intérêt à l’Assemblée Nationale. La démocratie Républicaine nous enseigne quil faut savoir transcender les clivages politiques pour l’intérêt général de la Nation. Estelle Ondo l’a bien compris en mettant cela au cœur de son action politique.
Thierry Mocktar