Au moment où le département de Bayi-Brikolo – dans le sud-est du pays – s’apprête à s’asseoir enfin sur un véritable développement économique et social au bénéfice de ses populations, dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation (PAT), il y’a encore des responsables politiques locaux qui s’illustrent négativement à travers des actes d’intimidation, intrigues et manipulation de conscience en vue de s’opposer à toutes ses initiatives louables des cadres de la contrée.
C’est le cas notamment vécu par Félix Onkéya qui a été empêché de mener des campagnes explicatives et pédagogiques en vue de sensibiliser les populations du cru sur l’ensemble des projets intégrés qu’il entend concrétiser dans le but de créer des emplois et apporter sa modeste contribution, en tant que natif de la contrée, pour l’autonomisation des populations locales. Une localité de Bayi-Brikolo aujourd’hui dépourvue d’un tissu économique qui permette à ces populations de subvenir à leurs besoins et avoir accès aux produits de base et de première nécessité.
Au regard de ces actes de malveillance posés par les responsables politiques locaux, pourtant du parti au pouvoir, qui entretiennent l’obscurantisme, la population de Bayi-Brikolo s’interroge à savoir qui voudrait boycotter la politique de l’Égalité de chances prônée par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’accélération de la transformation (PAT).
Les populations de Bayi-Brikolo qui ont manifestement adhérées aux initiatives de Félix Onkéya entendent désormais s’opposer au populisme dans lequel s’illustrent, ces derniers temps, des acteurs politiques locaux qui l’ont ériger en mode de gouvernance et de gestion politique sans pour autant participer ni contribuer à l’essor de leur localité.
Les actes de générosité et de solidarité aujourd’hui posés par Félix Onkéya participent et contribuent à la préservation du développement durable de la diversification de l’économie dans le département de Bayi-Brikolo.
Ephraim B. Mounanga (envoyé spécial)
La politique d’intimidation mise en place par des personnes en manque d’idée, ni de projets économiques pour cette contrée.