Au moment où les Panthères du Gabon affrontent, cet après-midi au stade Limbé, leurs adversaires des « Étalons » du Burkina-faso dans le cadre des huitièmes de finales de la 33 ème édition de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2022, la Commission nationale d’organisation et de gestion des événements à caractères nationaux et internationaux (CNOGEMCNI), sous la conduite de Félix Onkéya est bien présente au cœur du dispositif moral de l’équipe gabonaise qui engage le pays à cette compétition continentale.
En effet, les différentes réunion de concertation et d’harmonisation tenues par Félix Onkéya et son équipe, au camp-base du stade d’Engong à Oyem, ont permis de relever un certain nombre de points de convergence. Le rappel, à tous points de vu, des fondamentaux d’une gestion événementielle dans un contexte de crise sanitaire ; l’analyse des facteurs clés, endogène et exogène, de collaboration et de cohabitation ; la programmation et la coordination des sorties en relation avec le parcours de l’équipe nationale du Gabon au Cameroun ; la mise en évidence des contraintes liées à la cartographie des stade en compétition, etc.
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L’analyse ainsi que les commentaires sur la gestion des supports gabonais sur le Cameroun et ce depuis la phase préparatoire des Panthères, malgré la modicité des moyens mis à disposition de la CNOGEMCNI par l’État gabonais, aura permis à Félix Onkéya, chargé de la coordination de ce vaste programme, de faire recours à sa grande expérience de gestionnaire avéré de la chose publique afin que les gabonais se mobilisent autour d’un idéal de victoire pour leur équipe nationale. Qui, jusque-là n’aura aucune contre-performance durant le premier tour de la compétition. En dépit des critiques et scandales, qui a l’entame de la compétition, ont émaillés le milieux du football gabonais.
La rencontre de cet après-midi au stade de Limbé (Cameroun) s’annonce déjà comme une formalité de plus pour la sélection gabonaise au rendez-vous de l’histoire.
Christelle Ada (Oyem)