Gouvernement : Rose-Christiane Ossouka Raponda dans l’étau des ambitions démesurées.

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L’actuelle cheffe du gouvernement gabonais, Rose-Christiane Ossouka Raponda, a bien des soucis à se faire entre la mise en œuvre des missions assignées par le Président de la République et les ambitions démesurées dans lesquelles œuvrent, sournois et inlassables depuis des mois, certains de ses collaborateurs parmi lesquels de nombreux ambitieux et prétentieux issus de son propre camp politique.

Pourtant disent de nombreux analystes de la situation, Rose-Christiane Ossouka Raponda est simplement victime de son modèle d’exemplarité de gouvernance pour n’avoir pas trompée dans la gabegie comme certains de ses collaborateurs. Un genre de probité qui ne lui fait pas démérité à sa fonction pour la conduite de l’économie gabonaise vers une prospérité de croissance attendue par le peuple dans un contexte socio-économique et sanitaire difficile pour le pays.

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Alors que le management politique du chef de l’État Ali Bongo Ondimba de promouvoir une femme à la tête du gouvernement suscite de l’intérêt auprès de nombreux leaders et dirigeants africains, qui restent enthousiastes quand l’idée de s’inspirer de l’exemple du Gabon devenu un modèle. En quelques vingt (20) mois de présence à la primature, l’ancienne major de promotion à l’Institut de l’économie et des finances (IEF), aura obtenue des résultats considérables et satisfaisants.

L’adoption du Plan d’accélération de la transformation (PAT). Un vaste et ambitieux programme cher au Président de la République, qui vise à booster le processus de transformation du Gabon sous l’impulsion d’Ali Bongo Ondimba. L’avancement et le règlement des situations administratives des agents de l’État. Le démantèlement des réseaux de recrutements frauduleux et parallèles à la Fonction publique, alors même que le processus se trouve gelé. La dénonciation de surfacturation par des cabinets ministériels et administrations des marchés publics de l’État octroyés à certaines entreprises. La promotion de la culture gabonaise à l’étranger. La dénonciation de tentative de corruption de la cheffe du gouvernement par les ministres ou encore de leur impopularité…

Pourtant pour ternir l’image de Rose-Christiane Ossouka Raponda, de navets et prétentieux à la fonction de Premier ministre ne manquent pas de stratégies. Ils continuent ainsi, dans l’ombre, d’inciter des articles à charge contre Rose-Christiane Ossouka Raponda afin d’alimenter l’opinion à présenter la cheffe du gouvernement comme une incapable de la gestion de l’épidémie de la Covid-19. Alors que cet acharnement est, disent certaines sources, de l’initiative de certains membres d’un gouvernement et qui ne cachent plus leurs ambitions. Dont l’opinion nationale n’a de cesse dénoncer les manquements criards dans l’action pour le bien-être des populations.

Le chef de l’État est passé de l’acte à la parole en instaurant une Décennie de la femme gabonaise. Rose-Christiane Ossouka Raponda mérite, à cet effet, le soutien du peuple. N’est ce pas les bons chiffres laissés à la mairie lors de son passage à l’Hôtel de ville de Libreville qui ont aiguisés les appétits de certains de ses successeurs, au point de trempé dans une situation de farandole. Qui mieux qu’Ossouka Raponda, au sein du gouvernement, peut justifier d’une gestion orthodoxe et transparente dans le respect des règles de procédures ? Il y’a évidement à travers les actes posés des tentatives de déstabilisation dans l’action de la cheffe du gouvernement de la part de ceux qui n’ont ni compétence, ni le courage de s’afficher au grand jour, ni la capacité encore moins le mérite. Dans la mesure où chaque jour des hommes de main ou des corbeaux de service sont appelés à la rescousse pour « tresser des couronnes d’épines » sur la tête de Rose-Christiane Ossouka Raponda sans pourtant être de cœur avec la cheffe du gouvernement d’Ali Bongo Ondimba. Evidement, ventre affamé n’a point d’oreille. Toute proportion gardée et comparaison n’étant pas raison, on nage dans une tentative ondulée et imposture faite de chantage pour prétendre à une longévité politique et s’attribuer des parcelles de pouvoirs.

Alors que la conduite de l’action gouvernementale relève d’une compassion a l’égard des gouvernés et non à des activistes dont le goulet du passé sulfureux sème le doute dans les esprits et la crainte d’un gâchis au sein de l’opinion nationale surtout du camp du parti au pouvoir.

Thierry Mocktar

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